Ma dangereuse vie d’housewife de guerre…

 

Yes I can !

Et oui, après les différents conflits qui sont notre lot quotidien et font tristement la Une ces temps-ci : diarrhées gatro-entéritales qui remontent subitement dans le dos, renversements de gouvernements de café impromptus et autres conflits « je reste planqué dans l’estomac ou je ressors ??? Vas-y sors, fonce, je te couvre !!! », et bien après tout cela, les pyjamas,  bodies et autres malheureux sous-pulls (oui ceux qui font des étincelles quand on les enlève dans le noir, j’adore !) étaient dans un état relevant de l’humanitaire …

Alors, moi, petite envoyée spéciale sur ces terrains en guerre si dangereux (comprendre la buanderie), j’ai pris le taureau par les cornes pour la défense de ces vêtements opprimés et j’ai décidé de tenter de leur redonner une nouvelle dignité.

Et, à ma plus grande surprise, sans compter une vive émotion, le débutant médecin sans frontières de la lessive que je suis, a réussis sa mission !

Ça devait bien finir par arriver, et Dieu sait que j’ai bien essayé d’y échapper, mais me voilà devenue la femme de ménage au foyer parfaite !

 

Je suis donc fière et heureuse (mouais…) de vous annoncer que je viens de réussir à détacher une fournée de linge que même les Nations Unies pensaient irrécupérable !

 

Plus de tâches, tout blanc, nickel chrome, comme neufs !

Comment j’ai fait, quelles armes ai-je utilisé ?

Alors, prends ton carnet de combat et accroche-toi car c’est plutôt corsé :

Le fil rouge sur le fil bleu, quel suspens !

Grosse dose de détachant et machine à 90 degrés !!!  Et oui je sais, il fallait y penser !

Mais tu vois, comme quoi dans la vie, prendre des risques ça paye !

Bah voilà !

 

Merci qui ? Merci Poulette chérie !